8 oct. 2008

BIG JAY



Connu dans le milieu du reggae Dancehall, Bigjay est plus que jamais l'artiste à révéler. Dès l'âge de 12 ans, il s'intéresse déjà aux grands artistes jamaïcains comme Shabba Ranks, Papa San, Cutty Ranks, General Degree, en compagnie de ceux qu'ils nomment « ses grands frères » de la citée Belcourt à Baie-Mahault en Guadeloupe.
A 14 ans, il s'exerce à l'écriture après les cours, ce qui lui permet de franchir le cap du simple spectateur en s'adonnant à sa passion.
Féru de freestyles « Conscious » (conscients) il côtoie régulièrement les Sound Systems (soirées Dancehall) organisés par les groupes tels que KSS, Influence Sound, Jalawa Foundation qui ont vu naître des figures comme Lord Kossity, Admiral T ou encore Krys.
Il devient, alors, à son tour acteur du mouvement et commence à s'exprimer.
Affable à l'égard de son public il a écumé de nombreuses scènes, entre autres celle de l'Elysée Montmartre.
Notons les titres à succès comme « Yo pa inmé jènn », et « Vakans gwada » qui ont connu une forte rotation radio.

Aujourd'hui Auteur, compositeur, producteur ...

Passionné, cet artiste indépendant s'investit corps et âme dans tout ce qu'il entreprend, toujours en quête d'optimisation artistique.
En effet, vous serez surpris par : la richesse de ses textes, l'originalité de ses thèmes, des mises en scènes qui transcendent sa perception de la vie.
Pour vous donner entière satisfaction, Bigjay s'est entouré de différentes pointures de la scène reggae Dancehall locale mais aussi des talents reconnus à l'échelle internationale.

On peut donc aisément affirmer que ce street album «KEEP IT BLAZIN' » est celui de la maturité.
Tel un orfèvre assemblant pierre après pierre, il échantillonne un panel de sonorités qui impose son style éclectique.
Il a su réunir en un opus d'une vingtaine de titres des horizons et des cultures différentes.
D'ailleurs le son promo du nouvel album « Feelin'right » est programmé sur la compile nationale « 100% Ragga/Soca » prévue pour le 20 mai 2008 et produite par la major WAGRAM.

Aucun commentaire: